On écrivait « événement » jusqu’en 1990, année de la rectification orthographique.
A présent, pour être à la page, il faut écrire « évènement« .
Lire l’histoire intéressante et complète dans cet article du site La langue française.com.
On écrivait « événement » jusqu’en 1990, année de la rectification orthographique.
A présent, pour être à la page, il faut écrire « évènement« .
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Je dis : « Ces règles sont bien compliquées »
Je dis : « Ces règles sont bien compliquées ! »
Je dis : « Ces règles sont bien compliquées… »
Je dis : « Pourquoi ces règles sont-elles si compliquées ? »
Je dis que « ces règles sont bien compliquées »
Je dis que « ces règles sont bien compliquées ! »
Je dis que « ces règles sont bien compliquées… »
Je dis que « pourquoi ces règles sont-elles si compliquées ? »
« Ces règles sont bien compliquées », me suis-je dit.
« Ces règles sont bien compliquées ! », me suis-je dit.
« Ces règles sont bien compliquées … », me suis-je dit.
« Pourquoi ces règles sont-elles si compliquées ? », me suis-je dit.
« Ces règles sont bien compliquées » est la conclusion de mes recherches.
Vers 1930, M. las Vergnas, professeur au lycée Janson de Sailly, avait répondu
spirituellement aux contempteurs des études classiques dans un discours
prononcé lors d’une distribution solennelle des prix:
« Je regrette de ne pouvoir reprendre l’antique coutume de prononcer
mon discours en latin… mais, que voulez-vous, la mode est passée
et il n’est personne à l’heure actuelle qui aurait le téméraire courage de la ressusciter.
· Primo, comme disait un latiniste de mes amis, cela pourrait passer
pour un ultimatum aux humanités modernes… et ce serait ipso facto
un véritable outrage au statu quo que de faire ex cathedra un pareil lapsus.
· Secundo, il faut de plus en plus s’exprimer en français,
c’est la condition sine qua non pour être persona grata.
· Tertio, il ne faut pas ajourner sine die la remise de l’exeat que vous attendez,
soit dit en a parte, comme nec plus ultra.
Finis les pensums, finis les vetos ; l’heure est aux accessits, aux ex aequo, et cætera.
Dans un instant vous serez récompensés au prorata de vos efforts.
On proclamera orbi et urbi vos résultats, non point grosso modo,
mais in extenso, et vous emporterez un palmarès que vous conserverez jalousement
en duplicata, comme mémento, première ébauche au sein de l’alma mater,
alias l’universalité, de votre curriculum vitae.
Vous partirez ad libitum les uns par l’omnibus, les autres pedibus cum jambis
ou vice et versa. Aussi ne veux-je plus retarder votre sortie d’un seul alinéa ou
d’un seul post-scriptum et parvenu à mon terminus, je me contente de vous dire
simplement in extrémis : mes chers amis, au revoir et belles vacances… »
Les problèmes des boulangers sont croissants.
Alors que les bouchers veulent défendre leur beefsteak, les éleveurs de volailles se font plumer, les éleveurs de chiens sont aux abois, les pêcheurs haussent le ton !
Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans la merde, tandis que les céréaliers sont sur la paille.
Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression , les viticulteurs trinquent.
Heureusement, les électriciens résistent.
Mais pour les couvreurs, c’est la tuile et certains plombiers prennent carrément la fuite.
Dans l’industrie automobile, les salariés débrayent, dans l’espoir que la direction fasse marche arrière.
Chez EDF, les syndicats sont sous tension, mais la direction ne semble pas au courant.
Les cheminots voudraient garder leur train de vie, mais la crise est arrivée sans crier gare.
Les veilleurs de nuit, eux, vivent au jour le jour.
Pendant que les pédicures travaillent d’arrache-pied, les croupiers jouent le tout pour le tout, les dessinateurs font grise mine, les militaires partent en retraite, les imprimeurs dépriment et les météorologistes sont en dépression.
Et si les prostituées se retrouvent à la rue, c’est juste une mauvaise passe ?